La sécurité est une domaine très vaste qui vise à réduire les risques physiques, à les analyser, les comprendre, à fixer des règles, lois, réglementations, mais également qui vise un état d’esprit de confiance et de tranquillité. Parmi les domaines touchés, on peut citer la défense, la sécurité civile, juridique, économique, mais également alimentaire, au travail, des systèmes d’information, des transports,…
Toutefois, la sécurité est en train de vivre une véritable révolution : l’INRS, organisme de référence dans ma prévention des risques professionnels innove continuellement pour augmenter la sécurité au travail tant au niveau psychosocial, qu’au biologique ou au chimique. La fracture des pays en voie de développement et développée est telle que des systèmes de sécurité sont inventé (chimique, biochimique, nucléaire, armé). Le réchauffement climatique du au gaz à effet de serre engendre tellement de catastrophe dite naturelle que des systèmes de sécurité sont mis en place pour alerter les populations en cas de cyclone, tsunami ou tempêtes ; les catastrophes industrielles sont également scrutées.
Des chercheurs, des ingénieurs, des futurologues et des entrepreneurs y travaillent déjà d’arrache pied : en 1949, l’armée américaine invente un outil d’analyse préventive de sûreté de fonctionnement et de gestion de la qualité : AMDEC (Analyse des Modes de Défaillance, de leurs Effets et de leur Criticité). Aujourd’hui, cette méthode est appliquée quasi systématiquement dans les industries ; l’Organisation internationale du travail (OIT), agence spécialisée de l’ONU, ne vise pas seulement l’absence de maladie ou d’infirmité au travail, elle travaille aussi sur les éléments physiques et mentaux affectant la santé directement liés à la sécurité et à l’hygiène du travail.
Et des disciplines sont en train de voir le jour sous nos yeux : Responsabilité sociétale des entreprises (RSE), phytoremédiation, Psychodynamique du travail,…